Enrique exalte son ancien élève à la veille du grand match…
Dans une danse de microphones et d’appareils photos dignes d’un bal masqué médiatique, Luis Enrique, le poète des bancs de touche, a déroulé le tapis rouge à Ousmane Dembélé. Tel un fin gourmet parlant de sa tartiflette préférée, il n’a pas hésité à clamer en conférence de presse que pour lui, le meilleur joueur d’Europe n’était autre qu’Ousmane, provoquant une avalanche de sourcils levés.
Alors que l’Inter Miami s’apprête à croiser le fer avec le PSG sur un champ de bataille rectangulaire de verdure parfai… egligeant pas le côté sentimental crève-cœur de jouer contre ses anciennes étoiles du firmament footballistique. Luis nous a confié avec émotion qu’il était aussi concentré qu’un camembert au lait cru et que son équipe était aussi affamée qu’une bande de zombies face à un buffet à volonté.
Quant à Messi, l’extraterrestre du ballon rond, Enrique, avec l’humilité d’un chat devant une montagne de croquettes, a avoué qu’il n’aurait jamais pu le stopper en un contre un. Un plan anti-Messi, selon lui ? « Impossible, on toucherait alors au mythe, aux licornes et aux arcs-en-ciel du football ! » a-t-il lancé en fixant l’horizon, l’air rêveur. Et voilà, il ne reste plus qu’à dire : que le meilleur gagne !