Le PSG aux aguets pour un retour étincelant…

Dans l’arène mondiale où les clubs se battent tels des lions affamés sur une piste de cirque enflammée, le PSG, la fine fleur de Paris, a posé ses griffes jaunissantes sur les huitièmes de la Coupe du monde des clubs. Leur redoutable victoire contre les Sounders de Seattle – légèrement plus dangereux qu’une théière en porcelaine – a été aussi aisée que de croquer dans une baguette fraîchement sortie du four. Mais le PSG attend comme un enfant vigile onctueux, espérant que l’éclair de génie, Ousmane Dembélé, sorte de son cocon de rétablissement tel un papillon prêt à séduire les caméras du stade.

Le charismatique Enrique, cet architecte en chef des Rouges & Bleus, habillé de son imperméable de manager impeccable, s’est penché au micro de DAZN avec la bravoure d’un chevalier médiéval expliquant à son troubadour: « Nous avons triomphé de Seattle comme on saute par-dessus une flaque. Mais jouez, mes amis! Sans broncher et poursuivez cette quête digne des épopées d’antan! » Le PSG, premier parmi ses pairs, attend tel un mystique de connaître l’adversaire chanceux qui osera se frotter à leur triomphe flamboyant.

Quant à notre héros Dembélé, ce mercenaire de la pelouse verdoyante, est-il prêt à endosser son maillot de super-héros? Mystère! Son retour dépendra de la comète du destin passant au-dessus du Parc des Princes. Tandis que son état améliore de jour en jour, lui laissant entrevoir la douce lumière des projecteurs du 29, l’équipe reste sur le fil du rasoir stressée comme un pain au chocolat cherchant son identité. Et si le vent souffle favorablement, Ousmane, comme la cerise sur un gâteau encore chaud, dansera de nouveau.