La samba qui a terrassé Paris !…

Imaginez un match de foot où le ballon devient une pastèque géante que tout le monde essaie de déguster. C’est à peu près ce qui s’est passé lorsque le PSG, armé de ses meilleurs cuisiniers du ballon rond, a affronté Botafogo. Paris, habitué à soulever des montagnes, s’est heurté à un grain de sable brésilien et a perdu 0-1. Ah, chers footballeurs, vous avez laissé passer la pastèque fruitée de votre jardin du Parc !

John Textor, le chef d’orchestre de la symphonie brésilienne, a déclaré avec une banane immense (ou une noix de coco, qui sait ?) : « Le PSG, c’est le géant du conte de fées, et nous, on est juste de petits Jean Valjean du foot. Mais ce soir, c’est Victor Hugo et son Botafogo qui ont eu le dernier mot ! » Pour les Parisiens, les magnifiques tapis volants se sont transformés en simples carpettes de paillasson lors du match.

Dans cette comédie du beau jeu, Botafogo a décidé de rivaliser avec les clubs anglais. Imaginez un carnaval de dribbles et de feintes qui ferait rougir un caméléon ! Le PSG, stupéfait, a pris des notes pour les prochains cours de danse. Et Textor ajoute, dans un élan lyrique : « On a joué comme si on jouait au milieu des tètes couronnées d’Europe, fiers comme des perroquets sur une branche dorée. »