Les notes des joueurs virent au rouge…
Sous le clair de lune brésilien, le PSG a trébuché face à Botafogo dans une bataille digne des plus grandes épopées loufoques ! Les Parisiens, tels des grenouilles en quête de moustiques invisibles, ont peiné à trouver le chemin du filet. Après avoir joué du marimba contre l’Atlético avec une symphonie de 4-0, ils avaient l’occasion de s’envoler vers les huitièmes de finale, sauf que les ailes ont décidé de rester à terre. Luis Enrique a tenté d’invoquer la magie des chaises musicales avec quatre changements stratégiques, mais les sièges étaient trop glissants et le PSG s’est retrouvé le nez dans le gazon.
À l’arrière-garde intergalactique, Lucas Beraldo a pataugé comme un marsupilami en pleine répétition de ballet aquatique. Couronné d’un 3,5 dans Le Parisien, il est passé aussi inaperçu qu’une cacahuète dans un bol de soupe. Pendant ce temps, Lucas Hernandez a pris des cours de danse de salon ratée avec les attaquants adverses, récoltant un fier 4. Sensationnel ! Ailleurs, Gonçalo Ramos a manqué une tête spectaculaire, rappelant une vache qui raterait la cloche d’un seul coup de queue.
Du côté des titis parisiens, Senny Mayulu et Warren Zaïre-Emery ont disparu dans le triangle des Bermudes du terrain, collectionnant les notes tristounettes dignes d’un rapport de météorologie pessimiste. En somme, la pluie d’éclats de la victoire fut remplacée par une bruine de pertes, et Enrique méditait avec la sérénité d’un bouddha sous-marin. Le PSG repart donc avec dans ses valises un maigre but encaissé et la quête d’une performance redoutablement… distrayante. Olé !