Quand le PSG joue la valse et Botafogo, le tango…
Mesdames et messieurs, sortez vos cafetières, car cette nuit, le PSG se lance dans une danse nocturne au Rose Bowl de Pasadena ! Imaginez un duel épique sous les étoiles, un 0-0 palpitant où Paris passe son temps à dribbler comme un kangourou sur un trampoline tandis que Botafogo défend avec l’énergie d’un paresseux sous sédatif. Luis Enrique, avec un sourire en coin, décide de lancer un ballet d’élus cassant le protocole : exit Joao Neves, bonjour Warren Zaire-Emery !
Les Parisiens, ces rois du contrôle, jouent à la passe à dix avec l’élégance d’un gorille en tutu. On aurait dit que la défense de Botafogo était faite en mousse, mais rien n’y fait, le ballon refuse de se faire chatouiller les filets. Désiré Doué s’amuse à sortir des roulettes dignes d’une patinoire en plein carnaval de Rio, mais les buts, eux, restent cachés aussi bien qu’une chaussette dans une machine à laver.
Et voilà, le PSG qui rêve éveillé de huitièmes de finale doit attendre encore un peu, dans cette Coupe du monde des clubs où la patience est le roi. Pendant ce temps, les fans se frottent les yeux en attendant un réveil footbalistique digne d’un opéra italien ! Prochain épisode, face aux redoutables Seattle Sounders, pour, espérons-le, une symphonie de buts !