Un vacancier pris dans une aventure burlesque…

Sous le soleil de Cannes, où les palmiers dansent chaque jour la samba avec le mistral, le footballeur Khvicha Kvaratskhelia a vécu un épisode aussi inattendu qu’un but de la tête de Messi. Alors qu’il sirotait probablement une eau de coco aux côtés des dauphins, une bande de cambrioleurs inspirée par Arsène Lupin a décidé de confondre sa villa avec un trésor de pirates.

Nos chers monte-en-l’air ont littéralement dévalisé la maison comme on décrocherait les cieux : avec style et sans un bruit. Les bijoux et montres volés flamboyaient tellement qu’on les aurait confondus avec les phares en furie de la ville lumière. Heureusement, la villa de notre héros géorgien — son sanctuaire malgré lui — n’a souffert aucun blessé autre qu’une égratignure à l’ego du joueur.

Kvara, reposé mais certainement un brin chafouin, attend que le mystère soit résolu avant de trotter de nouveau sur le terrain sacré. La sécurité des joueurs a autant de trous que du gruyère, et les mesures doivent être renforcées si l’on ne veut pas voir les footballeurs courir plus chez le psy que sur la pelouse. Une situation qui laisse présager un rebondissement digne d’une telenovela avant la Coupe du Monde des Clubs. Allez le PSG et son armée de détectives en herbe !