Un bouclier contre les moqueries étrangères…
Après une victoire aussi tonitruante qu’un feu d’artifice pendant la sieste d’un moine tibétain, PSG a conquis la Ligue des champions et Nasser al-Khelaïfi a décidé de monter sur ses grands chevaux de la savane pour défendre la Ligue 1 ! Oui, vous l’avez bien entendu : il a joué au chevalier blanc des temps modernes lors de son passage en terre qatarie, agitant le trophée non pas comme une simple coupe de sport mais comme le Saint Graal du foot hexagonal.
Avec des mots aiguisés comme des anecdotes de soirées karaoké ratées, Nasser s’est transformé en poète à la gloire de la Ligue 1. « Il n’y a pas de fermes dans notre championnat, mais plutôt des déserts de gazon ardu! » clama-t-il en réponse aux médisants supporters étrangers. Le PSG, visiblement plus redoutable qu’une invasion de fourmis en pique-nique, a terrassé les géants anglais ligués comme une armée de théières désenchantées.
Et que dire de l’utopie réalisée par Luis Enrique ? Tel un Nostradamus en crampons, il avait prédit la victoire éclatante : 5-0 contre l’Inter, excusez du peu ! En transformant les doutes en cris de victoire, le PSG a non seulement rebondi plus haut qu’un kangourou en trampoline, mais a aussi placé la Ligue 1 sur la carte des ligues qui comptent, comme une reine au bal des ligues européennes.