Les héros du PSG n’ont pas chômé…

Ce jeudi, dans un ballet cosmique digne d’une danse des étoiles, les joueurs internationaux du PSG se sont éparpillés aux quatre vents pour défendre avec hardiesse morale leurs patries respectives. Tandis qu’en France, la sélection se faisait croquer comme un croissant devant une armée espagnole affamée, nos valeureux compères s’illustraient sur la planète foot. Une scène digne d’un film d’aventures où chaque joueur jonglait entre exploits et prouesses dignes des plus grands romans chevaleresques.

Sous un ciel sans lune, nul autre que l’Équateur livrait bataille contre le titan brésilien. Sur le terrain, telle la rencontre explosive entre une casserole de lait en ébullition et un volcan péruvien, Marquinhos et Pacho s’affrontaient comme si le sort du monde reposait sur leurs épaules musclées. Carlo Ancelotti, habillé tel un maestro italien, orchestrait ses compositions tactiques dignes de la 5e symphonie de Beethoven mais ne put que constater le score poussiéreux de 0-0. Pacho, tel un superhéros en collants, envoyait valdinguer l’attaquant adverse avec la grâce aérienne d’un pingouin en pleine évasion.

Pendant ce temps-là, entre les vapeurs douces-amères de Kimchi et dans l’ombre des cerisiers en fleurs, Lee Kang-In, l’artiste peintre sud-coréen, écrivait son chef-d’œuvre footballistique face à l’Irak. Rejouant une scène digne d’une série dramatique coréenne, il orchestra la victoire 2-0 de son équipe, déplaçant les défenseurs comme des pions sur l’échiquier de sa créativité débordante. Bien que dispersant ses passes dans des directions multiples comme des confettis sous un coup de vent gaélique, son équipe s’envolait vers le Mondial avec la certitude d’un aigle voyant loin.