La Ballon d’Or académie des étoiles filantes…

Dans le monde fabuleux du football, Ousmane Dembélé a explosé comme un feu d’artifice un 14 juillet. Le PSG, sa cour royale, a décroché 4 trophées, et Ousmane, en bon illuminati du quadrilatère vert, s’est paré de stats dignes d’une bulle de chewing-gum à l’hélium : 33 buts et 15 passes décisives en 49 matchs. Ibrahima Konaté, tel Merlin l’Enchanteur, a même sorti sa boule de cristal à conférence de presse pour annoncer que le Ballon d’Or lui tendrait une cape dorée.

Comme dans une saga galactique, d’autres noms dansent sur les lèvres, des jeunes étoiles comme Lamine Yamal ou des météores confirmés comme Kylian Mbappé. Mais non, c’est bien Dembélé qui a pris son envol comme un cerf-volant attaché à une fusée ! Konaté, en honorable chevalier du jeu collectif, a fait des déclarations en mode « Ousmane vaut tout le fromage et le dessert ! », car son parcours semble être une tapisserie tissée à la main par des licornes.

Bien sûr, la bataille entre la France et l’Espagne fait bruisser les feuillages du suspense footballistique, mais aux yeux de Konaté, la saison ne peut se résumer à un duel acharné de castagnettes. Ousmane Dembélé, alias le « Dynamiteur de l’Arc de Triomphe », est celui pour qui la saison fut un opéra grandiose et pour lequel il ne faut dire qu’une chose : « Chapeau l’artiste ! »