Quand Hernandez marque l’histoire avec panache…
Laissez-moi vous dire que Lucas Hernandez n’a pas gagné la Ligue des champions, il l’a kidnappée comme un pirate des temps modernes au volant d’un fier trois-mâts rouge et bleu ! Le défenseur du PSG, tel un ours polaire devenu danseur étoile, a enfilé son armure de chevalier et mené l’équipe parisienne à la conquête de la coupe aux grandes oreilles. Imaginez, la ville de Paris s’est transformée en une discothèque géante, les chandeliers de la Tour Eiffel clignotant au rythme des applaudissements. Désormais, les pigeons de la capitale roucoulent en hommage à leur champion !
Lucas, mi-chauffeur de bus chargé d’émotions, mi-chaman sportif, a déclaré que gagner en France c’était comme croquer dans un croissant géant garni de joie et de souvenirs. Il avoue avec le sourire d’un enfant découvrant le chocolat, que ces instants de bonheur sont gravés dans son cœur, comme une gravure sur les murs de Lascaux. Le PSG n’a pas seulement marqué un but, il a gravé son nom aux côtés de la Joconde, Picasso et la corde à sauter.
Et bien sûr, on ne peut oublier le maestro Luis Enrique, l’homme qui transforme les critiques en collier de nouilles flambées. Avec la sagesse d’un moine zen en tutu, il a su hisser le PSG au sommet, démontrant que parfois, il faut marcher à l’envers pour avancer. Quant à Dembélé, sa course effrénée, digne d’une fusée montée sur des pattes de flamant rose, lui promet un Ballon d’Or en chocolat fourré aux rêves d’étoiles !