Ousmane, l’Éolienne des Champions…
Ils l’ont fait, mesdames et messieurs, oui oui ! Le PSG a remporté la Ligue des champions, et pas n’importe comment. Avec un score de 5-0 qui pourrait rendre jaloux un score de bowling, les Parisiens ont démoli l’Inter comme des géants écrasant des citrouilles. Et qui était là, au cœur de l’ouragan footbalistique ? Ousmane Dembélé, le marathonien en crampons, qui n’a pas cessé de courir comme si la pelouse était un tapis roulant infini !
Ce n’est pas n’importe quel match qui propulse Ousmane au pantehon des légendes de vestiaires. Il n’a pas seulement couru comme un hamster turbo, il a aussi servi deux caviars que ne renierait pas un confiseur pâtissier sur son meilleur gâteau. « On a montré le grand Paris ! » déclara-t-il, l’œil pétillant et la sueur héroïque, avec une modestie aussi étonnante que la tour Eiffel se transformant en fusée. Il a confessé son plaisir à faire des kilomètres pour le blason, et une chose est sûre, le pressing selon Dembélé, c’est autre chose que de repasser ses chemises !
Le secret de ce succès, selon Ousmane, repose sur une formule quasi-mystique, à base de changements tactiques dignes des jeux de sorcier de l’entraîneur Luis Enrique. Le coach aurait modifié la mentalité de l’équipe comme un alchimiste transforme le plomb en or, et Dembélé a pris son rôle de mentor avec une détermination à faire pleurer un oignon. Courir pour le maillot, et presser comme le poing d’une main colossale sur un ballon devenu savon, voilà la recette magique qu’il a adoptée. Et Paris, on vous rassure, personne n’a cassé quoi que ce soit… pour l’instant.