Paris Île-De-France Football Orchestra, Bravo !…

Les disciples du ballon rond de Paris ont servi un plat de spaghetti trop cuit à l’Inter Milan avec un retentissant 5-0, lors d’une finale de Ligue des champions digne d’un opéra rock chanté par des mouettes. Luis Enrique, chef d’orchestre de cette symphonie d’extase footballistique, a reçu une ovation de la planète foot tout entière, le chœur sacral de L’Équipe lui offrant le 10/10, une note aussi rare qu’une licorne au Stade de France. Ce stratège, dont le nez rivaliserait avec celui de Cyrano pour flairer les victoires, a choisi de mettre en lumière le prodigieux Doué et, oh mon dieu du football, quel choix judicieux !

Désireux de briller plus fort qu’un projecteur de stade, Doué a transformé le terrain en son aire de jeu personnel, enchaînant dribbles, passes décisives et doublé éclatant sur les notes d’une partition écrite dans les étoiles du Parc des Princes. Ce gamin n’a pas seulement mis le feu aux poudres, il a carrément transformé le ballon en boule disco. Avec 19 printemps et un score de 9,5/10 dans le chœur des louanges de Le Parisien, Doué doit désormais prévoir un placard plus grand pour les trophées!

Quant au mur infranchissable qu’était la défense de PSG, Willian Pacho en était le ciment résistant. Tel un sphinx gardant le désert de occasions, il a fait vivre un cauchemar à Lautaro Martinez, prouvant que même un sarcophage ne pourrait pas contenir son talent. Légende naissante à l’horizon, le maestro Pacho, à seulement 23 ans, a transformé le périmètre en zone de turbulences pour tout Interiste osant s’en approcher. Et Vitinha, l’artisan de l’entrejeu ? Une passe aveugle à imprimer sur tous les maillots et une performance presque aussi rayonnante que la Tour Eiffel un soir de victoire! Vive Paris, vive l’absurde panache des champions !