Les Parisiens à l’assaut des Bavarois…

Imaginez le Paris Saint-Germain tel un orchestre symphonique volant vers Munich, chaque joueur armé d’une baguette en spaghetti et prêt à jouer sa plus belle symphonie de dribbles, de tacles et de tirs digne de Beethoven sur gazon. À la veille de la grande finale de la Ligue des Champions, les Parisiens n’ont pas oublié leurs partitions ni même leur légendaire chaussette porte-bonheur. Même Presnel Kimpembe, autrefois cloué à l’infirmerie, est présent, prêt à clouer le bec aux Italiens avec son jeu brut de décoffrage.

Le technicien espagnol Luis Enrique, tel un maestro à la crinière de feu, n’a laissé aucun de ses 22 virtuoses dans la salle de répétition. Des gardiens aux attaques, tous ont peaufiné leurs solos, révisant leurs gammes sur le tarmac avant l’envol pour Munich. Avec une défense qui claque comme des castagnettes et des attaquants plus rapides que des molécules de Red Bull, l’équipe est prête à esgourder les Milanais jusqu’à en faire miauler leurs crampons.

Les avions volent et les rêves glissent : le jour J approche et les Parisiens comptent bien décrocher la lune, non pas pour combler une nuit étoilée, mais pour y installer une sandwicherie de trophées tout à fait gourouflante. Munich, prépare-toi : les joueurs du PSG sont en route et leur appétit est aussi grand que l’estomac d’un éléphant après un marathon !