Une métamorphose au parfum de kazanova…
Alors que l’empire du PSG ressemblait davantage à un souk de stars éblouissantes qu’à une pépinière de jeunes talents, voilà qu’un vent de jeunesse souffle sur la capitale, plus chargé de potentiel que le café à l’arôme d’un Bukowski en goguette. Oui mesdames et messieurs, oubliez Neymar, voici le tourment de Belgrade, un certain Andrija Maksimovic prêt à faire valser le Parc des Princes avec la grâce d’un ballerine et la précision d’un chat ninja.
Luis Enrique, tel un chef d’orchestre savourant ses plats de tagliatelles, vise un ballet futuriste percutant sur le flanc droit et a jeté son dévolu sur ce prodige serbe de 17 ans, que d’aucuns décriraient comme une dynamite à mèche gauchère. Semblable à un facteur distrait, le PSG a déjà glissé quelques messages doux dans la boîte aux lettres d’Andrija et de son agent, en espérant une réponse en fanfare digne d’un opéra sous les étoiles.
Et voici la sécurité : une ligne en béton armé jusqu’à 2027 avec l’Étoile Rouge de Belgrade, pour une valeur marchande qui rendrait perplexe même un collectionneur de billes rares. Mais déjà, avec ses 45 partitions jouées et son symphonique 10-10 buts/passes décisives, Andrija fait de l’œil au PSG. En mangeant ses croissants demain matin, les Parisiens s’interrogeront peut-être : et si le flanc droit devenait un festival de dribbles et de feintes extravagantes ? En tous cas, rendez-vous pour savoir si ce ticket serbe secouera le carrousel parisien !