Quand le foot devient un mélange de Monopoly et Cluedo…

Dans les dédales intrigants du football parisien, le PSG, déjà assis sur une montagne d’or telle un dragon veille sur son trésor rassoiré, rêve de devenir propriétaire de son propre château de foot. À la recherche de son Graal, il lorgne sur le prestigieux Stade de France mais recule tel un chat effrayé par un concombre gigantesque. C’est finalement le roi des événements, GL Events, qui décroche le Saint Graal, faisant jouer une clause magique digne des plus grands magiciens de la Ligue des Champions.

Ainsi, GL Events, vrai maître Jedi de l’organisation, glisse une petite clause secrète, la « clause PSG », dans son parchemin de concession. Imaginez une prophétie, disant qu’un jour, peut-être dans un lointain futur où la mode du ballon rond aurait changé, le PSG pourrait bâtir un colosse de 70 000 places. Alors, tel un tour de passe-passe, GL Events pourrait s’éclipser dans un nuage de fumée pailletée, son investissement remboursé par l’État.

La mairie de Paris, telle une forteresse indestructible, refuse de céder le Parc des Princes, le joyau parisien. Pourtant, chaque échec rapproche le PSG de sa quête intemporelle : bâtir un stade digne d’un film de science-fiction où Zinedine Zidane jonglerait avec des satellites. Les supporters n’ont qu’à s’accrocher, le spectacle avec clause en carton-pâte ne fait que commencer !