Deschamps jongle avec les PSGistes en folie…

Aujourd’hui, Didier « Le Chef d’Orchestre » Deschamps a levé le rideau sur sa troupe de 25 artistes en short, orchestrée avec la finesse d’un maître sushi jonglant des makis au sommet de la Tour Eiffel ! Cinq membres du PSG ont décroché leurs places dorées, prêts à transformer des simples chassés dans l’herbe en arabesques pour le Louvre. Et Ousmane Dembélé ? Ah, Ousmane a le don de se téléporter d’une aile à l’autre du terrain plus vite qu’une meilleure blague de tonton Jacques aux repas de famille.

C’est devant un parterre journalistique digne d’une assemblée de licornes philosophes que Deschamps a pris son micro à deux mains pour défendre Warren « Le Jeune Cristal » Zaïre-Emery. Victime d’un timing aussi maudit qu’un lundi matin pluvieux, Warren revient d’une petite blessure, mais ne vous y trompez pas ! Deschamps affirme que notre jeune prodige troquera bientôt ses bébés crampons contre la monture guerrière des plus grands chevaliers de la pelouse.

Enfin, le suspense suprême : qui remportera la couronne européenne ? Avec sept de ses preux adoubés sur ce théâtre rugissant entre le PSG et l’Inter, Deschamps agit tel un Merlin sous Valium, observe attentivement sans s’engager. « Je suis sélectionneur ! » clame-t-il à qui veut l’entendre, laissé sous le charme ensorcelant d’une possible victoire parisienne. Et que fait-il du retour scintillant de Lucas Hernandez ? Pas de surprise, il émet la sagesse d’un sage yoga, assis en posture lotus sur une pelouse fraîchement coupée, prêt à savourer le retour de son guerrier blessé avec un sourire confiant.