Le festin de Dembélé et ses acolytes…
À dix jours de la grande odyssée sportive digne d’une épopée grecque, où même Achille ferait grincer ses talons, le PSG s’apprête à plonger tête première dans le bain des médias. Les journalistes, tels des explorateurs intrépides en quête de scoopage inédit, ont interrogé notre cher Ousmane Dembélé. Ce dernier est persuadé que cette année sonne comme la symphonie du sacre pour le PSG, une année où les astres d’Istanbul pourraient bien danser le tango en leur faveur.
Dembélé, habillé de son sourire étincelant digne d’un rayon de soleil méditerranéen, partage son impatience juvénile face à cette première finale Poissonneuse. « Une finale de C1, je la déguste comme une crème brûlée bien dorée », clame-t-il, résolu à non seulement arracher la coupe, mais aussi à en graver le souvenir dans les annales de la Tour Eiffel. Savourant chaque entraînement comme une goutte d’Elixir magique, l’équipe, avec l’enthousiasme d’une ruche en pleine production de miel, se prépare à affronter les abeilles piémontaises de l’Inter Milan.
Chez le PSG, le mot d’ordre est clair : pas de place pour les menus fretins, sauf peut-être sur les plateaux de télévision. Avec la France entière derrière eux, les Parisiens, épinglés sur la carte du football comme le piment sur le fromage, espèrent soulever enfin le Graal tant convoité. Et Dembélé ? « Le Ballon d’Or ? Pff, ça viendra tout seul après la victoire », dit-il, les yeux scintillant d’un rêve commun partagé par un club, une ville, une nation.