PSG – Quand la colère transforme le match…

Quand le sage Luis Enrique se met à souffler, ce n’est pas une brise marine qui caresse les plages de Barcelone, mais bien un vent tempétueux digne des îles Galápagos emportant au passage toute nonchalance ! Face aux hommes en bleu et blanc de l’AJ Auxerre, les étoiles du PSG ont d’abord trottiné comme des pandas au petit déjeuner. Mais à la mi-temps, Enrique a sorti la corne de brume éveillant les guerriers en sommeil. Et hop, en 45 minutes chrono, les joueurs parisiens ont signé une victoire digne d’un opéra de Verdi.

Merci à Kvara pour ce but méga-thérapeutique digne de la potion magique de Panoramix. Désiré Doué, au micro de DAZN, déclare que le coach a piqué une colère digne d’un coq sans grain. Finir en fanfare était plus important qu’une tour Eiffel au mois de juillet. La première période était molle comme une baguette pas cuite, mais la rébellion des 11 samouraïs parisiens a assuré une victoire éclatante. Le public du Parc des Princes peut désormais rêver de ses pelouses enchantées.

Désiré, l’oracle du vestiaire, l’a juré : chaque match est une finale, même quand il s’agit de jouer à la pétanque entre amis. L’heure est maintenant à la Coupe de France, préparons-nous à conquérir le Graal hexagonal avant de porter notre regard vers le Saint Graal du foot, la Ligue des Champions !