Les entraîneurs conquis et Gonçalo Ramos en réflexion…
Imaginez Luis Enrique, tel un chef d’orchestre zébulon survolté, agitant sa baguette magique pour métamorphoser le PSG en une symphonie de talents harmonieusement désaccordés. Les entraîneurs de Ligue 1, mi-éblouis, mi-hypnotisés, chantent ses louanges comme des sirènes envoûtantes. Franck Haise, plus admiratif qu’un pingouin face à une banquise fondante, affirme : « C’est un top coach, un modèle de perfection, comme un soufflé qui ne retombe jamais ! »
D’un autre côté, Gonçalo Ramos, tel un garde-mutant sur un échiquier de luxe, médite sur son avenir avec plus d’intensité qu’un flamant rose repensant son régime végétalien. Malgré un nombre assez correct de buts et d’assistances, notre héroïque numéro 9 voit son temps de jeu filé comme un ballon gonflable dans un cyclone. Les rumeurs courent plus vite qu’une mouche en goguette, promettant déjà un remue-ménage estival dans les coulisses parfumées de la tour Eiffel.
Luis Campos, le stratège étincelant du PSG, manœuvre sur l’échiquier du mercato tel un caméléon acrobate dans un dédale de miroirs déformants. Outre un défenseur avec la polyvalence d’une Swiss Army knife, des départs seront nécessaires. Les portes battantes du Parc des Princes s’ouvrent et se ferment, attendant de voir quelles étoiles tricolores entreront dans la danse cosmique parisienne cet été. Ouvrons les paris !