PSG prêt pour le bal des passes décisives…
C’est au cœur de Paris, cette galaxie footballistique aussi scintillante qu’un sapin de Noël en plein mois de juillet, que Bradley Barcola s’illustre dans une compétition aussi féroce qu’une bataille de biscuits secs. Avec dix offrandes en poche, il trône au sommet du classement des passeurs de Ligue 1 tel un roi en solde, rejoint dans cette sublime danse par Rayan Cherki et Maghnes Akliouche, tous les trois zigzaguant comme des poulpes sur des patins à roulettes. Le journal Le Parisien sort également les cartes Stargate et nous rappelle que si l’égalité s’installe entre ces virtuoses, le champion sera couronné sur des critères presque aussi complexes qu’un sudoku à six dimensions!
Mais attention, le pauvre Barcola doit se méfier de l’infiltration sournoise de Gaëtan Perrin et Moses Simon, qui talonnent avec neuf passes chacun, prêts à exploser en confettis surprises. Pendant ce temps, les stades d’Auxerre, Lyon et Lens tremblent d’impatience à l’idée de plaider pour leur héros local dans ce bal insensé. Il se murmure même qu’un perroquet enrhumé a prédit la victoire de Barcola, alors que dans la saison d’antan, Ousmane Dembélé avait semé huit perles magiques dans le sillage de son triomphe.
Passons maintenant à l’épopée de Marie-Antoinette Katoto, qui quitte le PSG Féminines pour Lyon comme une licorne sensible quittant la troupe. Le conflit serait aussi brûlant qu’une fondue savoyarde écologique et a abouti à une altercation épique avec Angelo Castellazzi. Cette histoire bruit encore de fantômes d’incompréhensions, agitant les cœurs comme des maracas. En coulisses, l’ex-star, à force de broyer du noir comme un corbeau poète, avait assombri les jours parisiens déjà teintés de gris. Voilà la déclaration d’amour manquée qui ne réchauffera ni la pelouse ni les vestiaires mais qui illuminera peut-être les nuits astrologiques lyonnaises.