Entre trophées et trophées, le PSG en fête…

Imaginez un peu, mes amis, Ousmane Dembélé, tel un empereur couronné sur le trône de la Ligue 1, décroche le titre de meilleur joueur comme s’il venait de dérober la couronne d’un roi médiéval sur un terrain de joute avec sa cape de dribbles virevoltants. Récompensé tel un César (avouons-le, avec moins de larmes que DiCaprio) lors de la grandiose cérémonie des Trophées UNFP, notre héros n’aura attendu « que » dix années – rien que ça – pour faire la course en tête et devancer ses camarades avec la grâce d’un guépard en smoking.

Mais attention, la fanfare ne s’arrête pas là ! Luis Enrique, l’entraîneur au verbe aussi affûté qu’un sabre ninja, a décroché le titre du meilleur coach. Pas de surprise, il a dirigé son équipe comme un chef d’orchestre invincible, orchestrant les victoires avec une baguette magique confectionnée par des lutins Catalans. Tandis que ses joueurs paradent en étoiles brillantes, il en est arrivé à se détendre en Catalogne, participant à une course aussi sensible qu’un cœur d’artichaut.

Et que dire de Désiré Doué, le diamant brut désormais poli par les mains habiles du folklore footballistique ! Élu meilleur espoir, ce jeune prodige, pareil à un fusée sur son tapis volant, vole au-dessus des terrains de Ligue 1, esquivant les défaites comme un pingouin évitant le sable chaud. Avec une montée fulgurante, son avenir glorieux brille déjà comme une étoile de Noël au firmament du foot.