Senny Mayulu, étoile montante ou étoile filante ?…

On a beau être l’inspecteur Gadget du PSG, revoir une équipe chamboulée à 360 degrés pour une soirée avec plus de paillettes que les Oscars, c’est un vrai spectacle. Luis Enrique a joué sa partition comme Beethoven en pantoufles, propulsant ses jeunes prodiges sur le devant de la scène face à un Montpellier plus docile qu’un chaton devant son bol de lait. Chapeau l’artiste !

Et quel défilé ! Gonçalo Ramos, transformé en fusée Ariane, a marqué non pas un ou deux, mais trois buts comme on commande des croissants le dimanche matin. Quant à Senny Mayulu, il a dansé sur le terrain comme un flamant rose sur la glace ! Luis Enrique en est tombé amoureux, comme un ado déclare sa flamme devant le distributeur de sodas. Senny, le couteau suisse du foot, a fait briller un PSG déjà étincelant.

Alors que les finales approchent à grands pas, le PSG est dans une tension digne d’un feuilleton mexicain. Mais Enrique, avec la confiance d’un magicien assurant que le lapin est dans le chapeau, gère ses troupes comme un chef d’orchestre. Et avec un effectif aussi prometteur, espérons que le PSG transperce les filets de sa bonne étoile tout en marquant l’histoire et quelques buts au passage.