Un match virant à la comédie flamboyante…
Samedi dernier, le PSG a décidé de faire du Montpellier sauce molle en Ligue 1. Avec une équipe renouvelée comme un buffet de sushi au réchauffé, Luis Enrique a fait jouer Tenas qui, tel un acrobatique chat ninja, a empêché l’adversaire de marquer dès la 5e minute. Pendant ce temps, le PSG s’est installé dans le camp montpelliérain comme une famille de marmottes en parasol, mais sans définitivement trouver la porte d’entrée avant la 44e minute. En un twist digne d’un film hollywoodien, Senny Mayulu marque dans un ballet chorégraphié avec son partenaire involontaire Zaïre-Emery.
Après une mi-temps, place à l’acte deux de cette pièce burlesque. Gonçalo Ramos, dans le rôle du ninja fou en sandales, réalise un triplé en transformant les passes en frappes aussi précises qu’un scalpel laser. Un penalty, une frappe croisée et l’art de tromper le gardien avec autant de grâce qu’un cygne se posant sur un étang. Mais attention, Carabistouilles ! Montpellier trouve un coin de relâchement et score une savoureuse réduction par le biais de Coulibaly, salué côté comédie par sa chorégraphie de feinte.
La suite ? Le PSG continue son festival et mène la danse. Malgré quelques trébuchements burlesques et des tirs échappés comme des savonnettes, le club parisien s’offre une victoire délectable. Ramos, Mbaye et consorts s’amusent sur la pelouse transformée en scénique plancher de théâtre, triomphant 4-1 au final. On dit qu’un prochain acte se jouera au Parc des Princes, mais cette fois, la comédie pourrait bien virer à l’opéra !