Une qualification digne d’un ballet footbalistique…
Hier soir, dans un Parc des Princes transformé en discothèque à ciel ouvert, le PSG a dégainé ses chaussons de danse pour swinguer juste ce qu’il faut face à Arsenal (2-1). Imaginez des joueurs dribblant en rime et en arabesque comme des ballerines hyperactives après un espresso triple ! Fabian Ruiz et Achraf Hakimi ont allumé les fusées parisiennes, propulsant les Gunners dans un cauchemar digne de la nuit la plus sombre d’un supporter de carnaval.
Pendant que le public entonnait des chants en technicolor, les coulisses nous ont offert un spectacle encore plus délirant. Imaginez Gianluigi Donnarumma, tel un Hercule des temps modernes, fêté comme le sauveur d’une amphore antique, faisant l’objet de louanges joyeuses et de chambrages tout droit sortis d’une comédie du dimanche soir. Les joueurs, pareils à des collégiens en récréation prolongée, ont décidé de laisser la finale patienter un petit peu dans son coin.
Dans le dédale des loges du Parc, une faune exubérante régionale et internationale s’agitait joyeusement. Entre un magnat du foot européen et un président du Rwanda, le PSG a profité pour tirer le rideau sur un quotidien des plus endiablés. Prochaine étape ? L’Inter Milan dans un affrontement qui s’annonce aussi explosif qu’un feu d’artifice sur la Tour Eiffel un soir de grands partages culinaires !