La stratégie de Luis Enrique face à Arsenal…
Dans l’arène du Parc des Princes, là où même les moustiques portent des maillots du PSG, Luis Enrique doit choisir : lancer ses tigres affamés ou transformer ses joueurs en une forteresse imprenable, aussi solide que le fromage fondu sur une pizza quatre fromages. Après leur victoire flûtée par un but à l’Emirates Stadium, les Parisiens ont une mission plus délicate qu’une danse du ventre devant Arsène Wenger, ambassadeur du jeu cristallin.
Pendant ce temps, le sage alsacien, Arsène Wenger, armé de ses lunettes magiques qui voient l’avenir du football, déclare : « En Ligue des Champions, chaque match retour est une exploration mentale : attaquer comme si vous chassiez le dernier croissant pour le petit-déjeuner en semaine, ou déployer la stratégie de la brique d’or en béton armé. » Tout en sirotant son thé à la menthe, il philosophe sur l’essence même du PSG, entre l’attaque flamboyante et la défense de la muraille de Chine.
Savoir que même le Stade de France n’a jamais vu des supporters aussi passionnés implique qu’au Parc, l’électricité dans l’air pourrait alimenter Paris pendant un mois ! L’entraîneur Enrique doit donc composer avec un orchestre où chaque joueur est une diva, tous ayant leur solo à jouer. Et bien que Paris soit connu pour ses escargots et ses baguettes, ce serait la soirée parfaite pour montrer que même les Parisiens ont des crocs affûtés prêts à arracher la Coupe aux grandes oreilles !