Les Londoniens charmés par les Parisiens…
Hier soir, le Parc d’Arsenal s’est transformé en opéra fantasmagorique sous la baguette de Luis Enrique et sa troupe parisienne. Imaginez des joueurs virevoltant comme des danseurs de ballets, et vous aurez un aperçu de la magie. En battant Arsenal 1-0, le PSG a non seulement conquis le terrain, mais aussi le cœur d’une presse anglaise éberluée qui pourrait écrire des haikus sur ce match.
La star de ce cirque footballistique n’était autre qu’Ousmane Dembélé, le caméléon du ballon rond. Un moment ici, un moment là, voire un instant nulle part puis partout en même temps, il était tel le chat de Schrödinger du football. Tantôt en mode ascenseur monté sur ressort à gauche, puis en architecte du jeu défensif, impossible de le coincer. Tel un attrape-sourires avec un ballon magique, il était partout où il fallait.
Et n’oublions pas Gianluigi « Superman » Donnarumma, qui, tel un gardien de but sorti tout droit d’un conte de fées, a fermé les portes du but parisien face à un Arsenal démuni. Son arrêt sur Trossard a résonné comme un couvercle de casserole claqué à l’heure du dîner. En se transformant en énigme pour les tireurs londoniens, le PSG a su couper le gaz d’Arsenal, prouvant encore une fois qu’il rêve de trôner sur l’Europe.