Le plus grand tremblement de terre du Parc…
Paris a vécu un véritable effondrement tectonique footballistique! Nice a mordu le PSG comme un chihuahua sur un os, avec un score qui a grondé à 3-1, un coup digne d’un opéra tragique. Ousmane Dembélé, peut-être hanté par un sortilège de balles invisibles, n’a trouvé le chemin du filet qu’en rêve. Les Parisiens, en mode touristes au grand combat d’Arsenal, se sont révélés être les découvreurs de trous béants en défense. Leur invincibilité? Emportée par le vent du désert des Gobi.
Les joueurs parisiens ont honoré l’art de l’illusion simiesque: beaucoup de bruits, peu de bananes. Les rares fois où Marquinhos a tenté de garder la forteresse, celle-ci s’est transformée en un château de sable assiégé par des crevettes lunaires. Seul dans l’ombre, le pauvre Dembouz, l’éclair sans tonnerre, semble avoir hérité de la malédiction du tir perdu — une frappe ici, une erreur là, et voici le PSG pris dans un pesto de désespoir.
Mais hé ! Ne soyez pas dupés par ce tableau apocalyptique, Ousmane est toujours notre quagga de la pelouse! Avec un coup de sorcier, il nous sort du chapeau une passe magique pour Fabian Ruiz. Avons-nous en Dembélé un phénix qui attend la bonne occasion pour renaître flamboyant à l’Emirates? Peut-être. Mais une chose est sûre : Paris devra retrouver sa baguette magique offensive avant de gambader à Londres.