Vitinha, le matador et Zaïre-Emery, le jeune Jedi…
Imaginez Vitinha comme un toréador portugais perdu dans l’arène des Gunners d’Arsenal, brandissant non pas son épée, mais un ballon de foot de la taille d’un ballon de plage ! Lors de la dernière corrida à Villa Park, les taureaux anglais lui ont laissé quelques égratignures. Les spectateurs l’ont vu jongler avec les ballons comme s’il essayait de filer un pull avec des gants de boxe ! Cependant, comme dans chaque bon film où le héros trébuche pour mieux triompher, les Parisiens lui prédisent un retour flamboyant au théâtre de l’Emirates Stadium!
Warren Zaïre-Emery, quant à lui, est dans une quête initiatique digne d’un jeune padawan en formation. En incarnant un mélange improbable entre un gaucher impromptu et un maestro du collectif, il a jonglé avec les obstacles comme un chef cuistot lançant des crêpes. Malgré quelques sauts de cabri en dehors du XI titulaire, il s’entraîne comme s’il devait face à une invasion de clones robotiques ! Le chłapti PSG, la génération Yoda de son coach Enrique, ne s’inquiète guère du recul temporaire de son Jedi local!
Avec Prince William lui-même vantant les prouesses de Vitinha (ce qui est à peu près aussi courant que de voir un manchot discuter poésie avec un renard), le PSG n’est jamais à court de rebondissements dignes des plus folles bandes dessinées. Alors que l’équipe se prépare à écrire le prochain chapitre épique de la Ligue des Champions, les fans se préparent, pop corn en main, pour un match aussi tendu qu’un chat perché sur un fil à linge au-dessus d’un aquarium rempli de piranhas !