Quand Donnarumma devient Spider-Man du PSG…
Dans un monde où les ballons fusent comme des météorites essayant d’écraser la Tour Eiffel, un héros émerge. Gianluigi Donnarumma, alias ‘Spidey’ Gigi, prend son envol avec des arrêts dignes d’une araignée géante sautant de fil en fil. Le Parisien le remarque bien : ce porte-bonheur en gants a propulsé le PSG en demi-finale de la Ligue des champions, grâce à ses gestes acrobatiques qui auraient même impressionné Tarzan. Luis Enrique, en coach avisé, applaudit cette performance impressionnante, sans oublier ses coéquipiers qui ont joué à leurs partitions musicales de virtuoses du ballon.
Avec un style digne d’un film d’aventure, L’Equipe nous rappelle que le PSG doit se préparer pour affronter un Arsenal réveillé par son dernier combat en octobre. Nos Parisiens ont les pieds dans le gazon, prêts à éviter les erreurs du passé comme des mines antichars sur le terrain. Avec Dembélé et Kvaratskhelia en mode turbo, leur trio d’attaque a promis au coach de s’inspirer des Jedi et de vaincre le côté obscur du football à l’Emirates Stadium. Le défi est titanesque, mais armés d’une volonté de titane, les joueurs reforment leur stratégie à chaque coin de rue comme des figurines Lego modifiables.
Et que dire de l’aventure épique à Villa Park? L’Equipe sonne l’alarme : attention à ne pas se reposer sur ses lauriers comme un koala sur une branche d’eucalyptus ! Perdre le contrôle du ballon et c’est comme oublier la télécommande de la télé : on peut fumer le pop-corn mais rester devant un écran éteint. Les géants de Birmingham ne s’en laissent pas conter, et les Parisiens devront pousser leur mental à se hisser un chouia plus haut. Bien sûr, à coups de baguette magique, dirigée par un entraîneur aussi inspiré qu’un maestro, peut-être que le PSG réussira à transformer ce récit en conte de fées footballistique. Ah, ils grandissent ces garçons!