Donnarumma le Magicien, Vitinha la Brouillarde…
Ce soir, le PSG a vécu une soirée digne d’un opéra rock sous stéroïdes ! Malgré une défaite serrée de 3-2 contre les Villans d’Aston Villa (surnommés ainsi pour leur capacité à jouer les méchants de service), le PSG décroche finalement son ticket pour les demi-finales grâce à un Donnarumma en mode poulpe supersonique. Cet homme a la souplesse d’un spaghetti al dente et l’aisance d’un ninja jongleur pour repousser quatre missiles lancés par des attaquants en furie.
Le match a débuté sur les chapeaux de roue avec Hakimi jouant les bulles de champagne, pétillant avec un but soufflé par les erreurs défensives d’Emiliano Martínez, et non moins Nuno Mendes s’illustrant tel un crabe hermite hyperactif. Mais la tranquillité parisienne a été engloutie par un ravin de confiance qui a permis aux Villans de semer les graines de la rébellion juste avant la mi-temps. À la reprise, ce fut un réveil aussi glacial que croquer dans une glace à la moutarde pour les parisiens, morphés en statues de sel face aux deux exploits éclairs des Anglais.
Pendant ce spectacle de montagnes russes émotionnelles digne d’une comédie musicale, certains joueurs sont restés bloqués en mode « sad trombone ». Vitinha, par exemple, paraissait aussi utile qu’un parapluie en carton sous la pluie. Quant à Marquinhos, il sembla échanger son leadership habituel pour des ballerines de plomb. Kvaratskhelia, lui, avait du mal à échapper à ses ombres comme un ninja avec deux pieds gauches, tandis que notre arc-en-ciel nommé Dembélé tentait de percer les nuages d’un revers de licorne maladroit. Au final, malgré ce manège éperdu, le PSG s’envole vers les demi-finales, prêt à surfer sur de nouveaux horizons de dramaturgie footballistique.