Marquinhos tranche dans le vif du sujet…

Dans une soirée digne d’un feuilleton brésilien, le PSG a décidé de jouer aux montagnes russes sur la pelouse d’Aston Villa. Imaginez un peu le cirque : après avoir fanfaronné 2-0, les Parisiens ont vu leurs rêves de demi-finale vaciller comme une danseuse folle sur un trapèze cassé. Les Villains, transformés en guerriers vikings, ont planté trois tisons dans le camp parisien, rallumant la flamme de l’espoir devant leurs supporters ébahis.

Dans ce théâtre digne d’une tragédie grecque, Donnarumma a chaussé ses bottes de sept lieues pour sauver le PSG d’une noyade certaine. Quant à Willian Pacho, il a dégainé son genou tel un pistolet chargé pour repousser le dernier assaut anglais. Capitaine Marquinhos, dans un rôle de philosophe sur Canal Plus, n’a pas caché son bonheur de flairer la douce brise des demi-finales à l’horizon et appelle à resserrer les boulons comme un mécanicien de Formule 1.

Les Parisiens, maintenant membres de la société secrète des prétendants au trophée, savent que leur coach plus exigeant qu’un chef étoilé ne laissera rien passer. Un grand merci à Donnarumma, le cerbère du Parc des Princes, dont les acrobaties flirtaient avec la poésie. La Champions League, une forêt obscure où chaque buisson cache une marmite à déjouer – une page d’histoire que le PSG veut écrire avec soin.