Quand Doué rime avec éclaté et applaudi…

Les Parisiens ont envoyé les Nineptides d’Aston Villa au tapis du Parc des Princes, lors d’un match rocambolesque digne des plus grandes fresques épiques. Cependant, la pleine lune de la soirée a été atteinte non par un missile balistique, mais par Désiré Doué, le jeune prodige de 19 printemps aux jambes aussi véloces que celles d’un kangourou australien en pleine crise de caféine !

Sous les acclamations tonitruantes du public, Doué s’avance à la 35e minute, tel un samouraï en quête de justice footballistique. Son pied droit a déclenché une frappe si puissante qu’elle aurait pu soulever la Tour Eiffel de quelques centimètres en rebondissant sous la barre. Emiliano Martinez, le gardien d’Aston Villa, a eu l’air d’un photobombé qui n’avait pas été invité à la fête.

Thierry Henry, l’homme qui pourrait dribbler entre les GigaOctets, a encensé Doué avec enthousiasme. Avec la ferveur d’un supporter acharné, il a souligné que l’ascension de Doué pour déloger Barcola, c’est comme écarter une star de cinéma pour un acteur de théâtre convaincant. Luis Enrique, quant à lui, vole bien au-dessus du stade dans une montgolfière, sans s’inquiéter des turbulences d’âge ou d’ego. Vive le football audacieux : quand c’est bon, c’est bon !