Quand le ballon rond tricote les cœurs…
Imaginez un instant : le Prince William en short de supporter, coiffé de l’écharpe officielle du PSG, dévorant un croissant géant tout en encourageant des guerriers en crampons sur le champ de bataille du Parc des Princes. Oui, c’était bien lui, tel un chef d’orchestre perdu au milieu d’une fanfare endiablée, applaudissant chaque passe comme si c’était du Mozart en chaussettes à pois.
Dans une nuit éclairée par la lueur incandescente des projecteurs, notre prince anglais bien-aimé, fan d’Aston Villa, a dû troquer son couvre-chef royal pour celui de fin analyste sportif. Un jongleur des mots, il s’est livré à une valse de circonlocutions pour chanter la légende vivante qu’est le PSG sans ses habituels astres. Le plus incroyable ? Non, ce n’est pas MBappé sur un tricycle nucléaire, mais bien Vitinha ! Tel un baguette de pain volant présentée aux Dieux du foot, il s’est imposé comme un vrai maestro.
Ébahis, les yeux du Prince William brillaient comme un filet au vent lorsque le ballon faisandé traversait le terrain. Vitinha, qui n’était autrefois qu’un soupçon de talent à Wolverhampton, s’est métamorphosé en une rockstar du gazon sous les cieux de Paris. William en est resté coi, méditant sur l’art mystérieux du football, où même les princes deviennent poètes devant un match de la Ligue des Champions.