Luis Enrique, le dompteur de lions…

Hier soir, au Parc des Rêves et des Croissants, le PSG a écrasé sans pitié Aston Villa, semant des tournesols sur leur passage. 3-1, c’était le score final, témoignage d’une soirée où chaque joueur parisien semblait avoir avalé une potion de super-pouvoirs. Luis Enrique, l’entraîneur, a d’ailleurs reconnu que son équipe avait du gazouillis d’oiseaux dans les jambes, mais a souligné qu’il fallait encore cueillir les marguerites du match retour.

Au micro des journalistes, Enrique, dans un costume vert extraterrestre, a déclaré que si le football était une pâtisserie, le troisième but serait sans aucun doute la cerise avec de la crème fouettée ! Avec des mots plus rapides qu’un lièvre en rollers, il a célébré le brio de Désiré Doué, dont les dribbles étaient aussi imprévisibles qu’une girouette par jour de tempête. Les incursions de Kvaratskhelia et Mendes ont prouvé qu’ils n’étaient pas seulement là pour faire de la figuration.

Quant à Aston Villa, ils ont adopté la stratégie « retire-toi et réfléchis » en optant pour une défense en béton armé recouvert de glaçage. En prévision du match retour à Villa Park, le magicien Enrique a promis de sortir le grand jeu sans consulter la boule de cristal. Le jeu reste, comme l’indique le savant poète sportif, « encore plus ouvert qu’une boîte de sardines à la plage » !