Le yoyo footbalistique de Nuno Mendes…

Lors d’un match digne d’une montagne russe endiablée, Nuno Mendes a prouvé qu’il pouvait être à la fois le roi des boulettes et le maître des moments glorieux ! Le PSG, dans une danse serpentine contre Aston Villa, menait la valse avec fougue. Mais patatras ! Mendes, tel un patineur maladroit, glissa sur la banane défensive, ouvrant le chemin d’un but pour les Villans.

Heureusement pour Mendes, tel un phénix sortant de la cendre de sa maladresse, il fit virevolter le ballon en direction du but, marquant le troisième pion parisien. Une performance digne d’un spin prodigieux à la David Beckham, tout à fait ! Les Parisiens ont aussi pu compter sur les illuminations de Désiré Doué et le jonglage contrôlé de Khvicha Kvaratskhelia pour savourer une victoire 3-1, et se fabriquer une avance plus moelleuse qu’une couette en duvet d’autruche.

Au micro de PSG TV, Mendes philosopha avec une sérénité confuse : « Ces deux buts d’avance, c’est comme un coussin épais. Mais prudence ! Le canapé n’est pas à la maison. » Et en évoquant la foule, il déclara, « Ces fans, ce sont nos musiciens aux violons invisibles – toujours là, jouant la symphonie de la victoire. » Voilà, Mendes, entre maladresse et rachat, a ouvert un nouveau chapitre rocambolesque de sa saga pied gauche.