Quand Paris a conquis le cœur de Pastore…

Ah, Javier Pastore, cet artiste du ballon rond dont les dribbles rappellent un mélange improbable entre un flamant rose en tutu et un danseur étoilé sous stéroïdes ! Lors d’une interview où il a ouvert son livre des merveilles, Pastore a partagé ses moments mémorables au PSG, entre rêves sous la Tour Eiffel et matchs flamboyants. C’est en rêvant de marcher au pied de cette grande dame Parisienne, qu’il a su que le PSG était sa destinée – ni Milan, ni Chelsea, juste « la vie en rose » version crampons.

Parmi ses souvenirs excentriques, Javier évoque l’histoire légendaire d’un gamin et d’un Instagram aux likes infinis. Un gosse qui l’accompagna lors de sa présentation – l’équivalent footballistique de la scène du Roi Lion où on présente Simba, mais avec plus de gel coiffant. En bonus, cette passe aveugle à Cavani contre l’OM, vérité ou illusion ? Draxler était censé jouer mais ô surprise, un virus fictif l’envoya sur le banc, transformant Pastore en super-sub sauveur.

Et que dire des joutes épiques face aux géants de Chelsea ! Un pastis au Parc, un tango au Bridge – contre vents et cartons rouges déferlants, il conclut son récit par l’amour indéfectible des fans du PSG. Pour Pastore, le PSG n’était pas qu’une équipe, mais une fratrie digne des Chevaliers de la Table Ronde, où chaque barbecue rivalise avec les folles soirées de Saint-Tropez. Aujourd’hui, même Zidane jonglerait pour partager une boulette de viande avec eux, et la Tour Eiffel, elle, continue à briller de mille feux – en hommage au magicien Pastore, notre d’Artagnan du football moderne.