Quand le football devient opéra comique…
Il était une fois, sous la lune parisienne, une troupe de fous de football prêts à affronter les vaillants chevaliers d’Aston Villa. Nos héros, les Parisiens, emmenés par le maestro Luis Enrique, se livraient à une bataille épique en quart de finale de Ligue des champions. À l’exception de Marquinhos, suspendu pour une collection de cartons digne d’un philatéliste zélé, tous étaient présents, prêts à transformer la pelouse en scène d’opéra comique.
Avec une infirmerie aussi vide qu’un frigo un soir de fête, l’orchestre parisien jouait fortissimo! Le retour de Lee Kang-In, tel un phénix sortant des cendres après une entorse de la cheville, annonçait des harmonies prometteuses. Les ténors habituels: Donnarumma, Hakimi et Dembélé, épaulés par les notes cristallines de Kvaratskhelia et Vitinha, formaient une symphonie imparable. Chez les jeunes prodiges, les Titis Mayulu et Mbaye arrivent à la rescousse, prêts à ajouter leur touche juvénile à cette partition.
La liste des gladiateurs parisiens est aussi longue que les ingrédients d’une recette de churros un dimanche matin! Les gardiens comme Donnarumma se tiennent prêts à jongler avec le destin, tandis que les défenseurs, en boucliers humains, préparent d’incroyables tacles chorégraphiques. Préparez le popcorn, car ce match promet d’être aussi mémorable qu’un feu d’artifice du 14 juillet!