Quand le Parc attend son magicien…
Ce mercredi soir, roulements de tambours invisibles et claquements de claquettes imaginaires résonnent dans le cœur de Paris ! Le Parc des Princes se transforme en arène de gladiateurs modernes alors que le PSG verrouille les portières pour accueillir Aston Villa en quart de finale aller de la Ligue des champions. Et oui, le jeune prodige Désiré Doué, le Mozart du gazon, pourrait bien gratter un solo en tant que titulaire. Imaginez, il pourrait jongler avec la balle comme si c’était une tartelette au citron meringuée sur un plateau d’argent lors d’un banquet royal.
Le PSG, tel un vautour ayant rasé la prairie d’Angers, s’est emparé de son 28e titre de Ligue 1 hier, d’un maigre 1-0 qui semble sorti d’un conte de fées où le hasard est aussi fréquent qu’une licorne à Montmartre. Le deuxième trophée de la saison gentiment glissé dans l’armoire du salon, la capitale lorgne désormais sur les quatre coins du terrain, le regard fixé sur la première manche face aux Villans. Lee Kang-in, notre ninja en herbe, pourrait bien jaillir des ombres collectives d’un entraînement pour semer le chaos, enfin peut-être.
Ce jour-là, la défense se dressera comme des châteaux de sable face aux vagues de la Manche. Lucas Beraldo et Willian Pacho manient la stratégie comme on manie une baguette de pain, croustillante à souhait. La querelle épique du trio offensif commence : Doué, Barcola ou Kvaratskhelia ? Coach Enrique doit choisir avec la concentration d’un chat face à trois boîtes de thon. L’incertitude plane comme un ballon de baudruche dans la stratosphère footballistique. Allez les Bleus, donnez-nous ce spectacle qui vaudrait bien un feu d’artifice en plein Nadal !